Bébé fofie

Catégories : Diaper couple, plusieurs, lesbiennes Diaper girl / Little girl
il y a 9 ans
The-abdl-world

Je me présente, je m'appelle Julien. J'ai 20 ans et je suis en deuxième année de droit. Je mesure un peu moins d'1m80. J'ai toujours été assez protecteur et attiré par les filles qui ont su garder un caractère un peu e n f a n t in, sans pour autant jouer les petites filles capricieuses. Je sors depuis quelques mois avec Sophie, du même âge que moi. Nous nous sommes rencontrés à la fac et nous nous sommes tout de suite beaucoup plu. Je l'avais remarqué en TD. Assez petite, elle porte la plupart du temps une jupe assez courte et un petit débardeur. Ses couettes et son sourire angélique m'ont tout de suite fait craquer. J'habite seul dans un studio, nous avions donc pris pour habitude de nous y retrouver pour passer des moments très agréables.

C'était la première fois que j'allais chez elle, ses parents s'étant absentés pour le week-end. Nous avons passé une soirée très agréable avec dîner commander chez un traiteur, suivi d'un film. Vers la fin de celui-ci, nous avons commencé à nous chauffer mutuellement. Les préliminaires s'accentuant, nous nous sommes dirigés vers sa chambre. Je fus alors très surpris et je m'arrêtais d'abord sur les nombreuses peluches qu'il y avait dans son lit. Les murs étaient peints d'un rose pâle et il y avait une petite frise avec des animaux qui faisait le tour de la chambre. Très amusé, je lui fis remarqué en la taquinant qu'elle ressemblait plus à une chambre de bébé qu'à celle d'une jeune fille en quête d'autonomie, ce qu'elle revendiquait souvent.

Elle rougit, puis me répondit :

  • Nous avons emménagé l'année dernière et je n'ai pas encore trouvé le temps de changer la déco ! Attends un peu, je vais te montrer si je suis un bébé !

Puis elle fit tomber sur le lit. Nous nous sommes déshabillés, puis avons fait l'amour longuement. Elle est très active, ce qui contraste avec l'attitude réservée qu'elle a dans la vie courante. Je l'embrassais une dernière fois avant de lui souhaiter bonne nuit. Je l'entendis alors ouvrir le tiroir de sa table de chevet, y saisir quelque chose, puis se raviser brusquement et le refermer. Dans le noir je ne pouvais bien sûr rien voir et à mon interrogation elle me répondit un vague :

  • Rien rien, bonne nuit.

Le lendemain matin en me réveillant, je vis qu'elle s'était déjà levée. Voulant satisfaire ma curiosité, j'ouvris son tiroir. Parmi diverses choses, j'y découvris une tétine ! Je la pris pour l'observer, il y avait une princesse de Disney dessus. Beaucoup de questions se bousculaient dans ma tête, lorsqu'elle rentra dans la chambre. Me voyant tenir sa tétine, elle se mit à rougir et bafouiller que ce n'était pas la sienne. Enfin si, mais qu'elle ne l'utilisait plus depuis très longtemps. Je la pris dans mes bras et lui dis :

  • Moi je pense que tu t'en sers tous les soirs et qu'hier par réflexe tu as voulu la prendre pour dormir, mais qu'en prenant conscience que j'étais là tu t'es ravisée maladroitement.

Elle rougissait de plus belle :

  • Tu vas me prendre pour une gamine, c'est juste que ça m'apaise... s'il te plait n'en parle a personne.

La serrant contre moi, je lui dis qu'elle n'avait pas à s'en faire et que je trouvais même cela très mignon. Après cette aventure nous sommes allez prendre le petit déjeuner.

Chapitre 2 : Tu es un vrai bébé !

Plusieurs jours passèrent sans qu'on en refasse allusion, jusqu'à ce que je retourne passer la nuit chez elle.

Après le repas nous nous sommes installés devant la télé. Mais avant de mettre le film en route, je suis allé dans sa chambre prendre sa tétine, ainsi qu'une peluche. En me voyant arriver avec, elle semblait hésiter entre l'embarras et la joie. Avant qu'elle a pu dire quoi que se soit je lui introduisit sa tétine dans la bouche et lui dis qu'elle était adorable comme ça et que je savais qu'elle en avait envie. Elle me fit un petit sourire gêné, puis nous nous sommes allongé dans le canapé avec elle tirant régulièrement sur sa tétine, son nounours dans les bras, et moi la serrant pour la rassurer.

La nuit fut torride, elle était très investie, comme pour me remercier de la comprendre.

Le matin je me réveillais à côté d'une jeune fille de vingt ans, une tétine de bébé dans la bouche et l'air comblé. Il me vint alors une idée un peu folle. Si elle aimait ça peut-être désirait-elle aller un peu plus loin. Je décidais alors d'amener les choses petit à petit, car je savais qu'en le faisant d'un seul coup elle pourrait refuser d'admettre que c'était ce qu'elle voulait.

Au petit-dejeuner, elle se mit du nutella autour de la bouche. La regardant en souriant, je me suis approché et lui ai essuyé en disant :

  • Tu t'en mets partout bébé ! avant de lui attacher la serviette autour du cou, une fois de plus elle a rougi puis m'a tiré la langue sans faire de commentaire.

Nous avons ensuite décidé de sortir faire un tour dans un parc à côté de chez elle. Après avoir pris notre douche ensemble, nous nous sommes habillés, elle m'a demandé de lui passé son haut, elle tendait la main pour le prendre, mais m'approchant elle je lui ai moi-même enfilé, là elle a dit qu'elle pouvait quand même s'habiller toute seule, qu'elle n'était pas un bébé ! Je lui rappelais notre soirée et l'épisode du petit déjeuner, elle baissa la tête, je la pris alors et lui dit qu'il n'y avait absolument rien de honteux, que je ne ferais que ce qui lui fait plaisir. Elle me sourit et d'une petite voix me dis « c'est vrai que j'aime bien que tu me traites un peu en petite parfois... mais pas trop je sais être une grande aussi ! » elle mit alors sa main sur mon entre-jambes et m'embrassa tendrement. Un « vas en avant grand bébé ! » marqua notre départ.

Dans la rue elle n'aimait pas trop qu'on se tienne la main, au cours de notre promenade sont lacet se défit, je lui fis remarqué, il n'y avait personne autour, elle me dit alors « zep sait ne pas faire mes lacets », elle se prenait au jeu, en me baissant je dis « et après tu prétends ne pas être un bébé ?! »

Un peu plus tard nous avons décidé de rentrer dans mon studio. Voyant qu'on ne prenait pas le même chemin que d'habitude, elle me questionna. Je répondis simplement qu'il fallait faire quelques courses. Arrivés à un feu, je dis assez fort pour que tout le monde entende :

  • On donne la main pour traverser quand on est un bébé !

Tous les gens se sont retournés pour nous regarder. Elle rougit, mais me tendit la main. Un peu plus loin :

  • T'exagères, pas devant tout le monde quand même !

  • Tu l'as bien cherché ! Tiens, on est arrivés.

Je m'étais arrêté devant un magasin « Bébé-Cash ».

  • Tu rigoles ?! Ca suffit je suis pas un bébé. N'en fait pas trop !

  • Tu as pourtant l'air d'adorer être traitée en bébé. Si on s'arrête ici, c'est parce que chez moi il n'y a ni tétine ni doudou et ça, tu ne peux pas nier que ça te donne pas envie ! Il faut savoir ce que tu veux, si veux la tétine et le doudou de bébé il faut que t'acceptes d'être traitée comme tel. Sinon on en parle plus.

Elle rougissait plus que jamais :

  • C'est vrai que j'aime bien, mais pas trop ou pas tout le temps.

  • Pour le pas trop, on en discutera. Si tu veux jouer les bébés, il faut assumer jusqu'au bout. Mais je suis d'accord pour le pas tout le temps, qu'est-ce que tu décides ? On entre dans ce magasin ou on oublie tout ?

Voyant qu'elle n'osait pas réponde, je lui pris la main et la fit rentrer. Il y avait dans les rayons tout ce qu'il faut pour s'occuper d'un bébé, chaises hautes, pots, biberons, tétines, couches, vêtements, talc, crème... On se dirigea vers les tétines.

  • Alors laquelle veux tu mon bébé ?

Une jeune mère nous regarda d'un air interrogateur, Sophie n'osait pas détourner son regard des tétines de peur de faire face aux autres clients. Après quelques minutes à les regarder, elle en désigna une rose avec un papillon. Je lui dis de la prendre, ce qu'elle fit en tremblant un peu. Nous sommes ensuite allez voir les nounours en passant par le rayon des couches je lui tapotai doucement les fesses, mais ne fit aucune de remarque. Une fois la peluche choisie, nous sommes allez en caisse. Au moment de payer je pris une attache-tétine sur le comptoir :

  • Pour être sur que bébé ne perde pas sa belle tétine !

La vendeuse souri et demanda à ma copine si elle avait perdu un pari. Toujours aussi rouge, elle ne répondait pas. Je dis alors que oui, la vendeuse de répondre :

  • Tu vas être trop chouette avec ça !

Une fois sortie du magasin, je lui demandais ce qu'elle en avait pensé. Elle me dit qu'elle était m o r t e de honte du début à la fin, mais qu'elle était contente de l'avoir fait. Je lui ai demandé si elle voulait sa tétine maintenant :

  • Oh non, s'il te plait plus, rien en public ! A la maison tout ce que tu veux, mais pas là !

  • Tout ce que je veux ?

  • Si tu ne fais plus d'allusion devant les gens, oui.

  • Bien dans ce cas, c'est d'accord.

Une fois rentrés, on s'est mis à réviser. Je lui ai accroché sa tétine à son haut et dis de ne pas l'enlever sans me demander.

Dans l'après-midi, nous avons fait l'amour comme jamais. Ensuite je l'ai prise dans mes bras, de façon à ce qu'elle n'ait pas à soutenir mon regard.

  • Je voudrais qu'on parle un peu de tout ça, qu'est-ce qui te plait ? Juste la tétine, te comporter comme un bébé ou peut-être as-tu envie d'autres choses ? Elle hésitait à répondre. Allez, t'en fais pas. Tu sais bien qu'on peut parler de tout, en plus tu vois bien que ça ne me dérange pas du tout...

  • Bien. En fait avant c'était que la tétine, c'était une habitude et parfois j'aime bien regarder un dessin animé avec, ça me fait décompresser. Je n'ai jamais pensé à me faire infantiliser comme tu l'as fait ces derniers temps. Au début ça me mettait mal à l'aise, mais je crois qu'au fond j'aime bien que tu le fasses. Je sais, tu dois trouver ça super bizarre...

  • Je dois dire qu'au début ça m'a surpris, mais je trouve ça tellement mignon. Tu as envie qu'on continue comme ça, sans aller plus loin, ou voir où ce jeu peut nous mener avec le temps ?

  • Je ne sais pas. Tout ce que je sais, c'est que pour l'instant j'aime beaucoup, mais pas en public. Je préférerais qu'on fasse ça qu'à la maison.

  • Bien, c'est décidé, tu seras mon petit bébé en privé, mais ça ne fait que commencer je te préviens, dis-je en lui redonnant sa tétine.

Marmonnant à travers ça tétine en prenant un ton infantile :

  • Qu'est-ce que ça veut dire ? Zep suis pas un bébé ! Z'aime zuste quand tu me traites un peu en petite.

  • Tu verras bien. Quelqu'un qui dit qu'il veut qu'on le traite en petit en prenant un ton de bébé avec une tétine dans la bouche, c'est un bébé !

  • C'est po vrai !

Chapitre 3 : Fofie se prend de plus en plus au jeu

Les jours passaient et je l'infantilisais souvent. Parfois en public, elle détestait ça. Une fois dans mon studio j'avais préparé le repas, mais elle refusait de manger.

  • Qu'es-ce qu'il y a ? T'aimes pas ?

  • Si, si ce n'est pas ça... dit-elle en rougissant.

  • Oh, je vois ! La petite fille veut qu'on lui donne à manger ! Ce sont les bébés qui ne savent pas manger tous seuls.

  • Nan nan, c'est bon, d'accord, je mange.

M'asseyant à côté d'elle :

  • Trop tard, faut que bébé assume. Mais je veux te l'entendre dire.

  • Dire quoi ?

  • Peux-tu me donner à manger à la cuillère parce que je suis un bébé. Allez, dis-le.

Rougissant une fois de plus, elle voulut me prendre la cuillère des mains :

  • Nan nan, maintenant que t'as demandé c'est trop tard. Allez, dis-le.

  • Bon, d'accord... Peux-tu me donner à manger avec la cuillère parce que ze suis un bébé ?

  • Très bien ! Tu vois, c'était pas si difficile. Allez, ouvre la bouche pour l'avion mon bébé.

Déjà très honteuse, elle essayait de manger correctement, mais je faisais exprès de lui en mettre partout en l'essuyant régulièrement avec la serviette autour de son cou. Mais elle se défaisait tout le temps :

  • Il va falloir remédier à ça.

Elle rougit, sachant très bien à quoi je pensais. Je pris tout mon temps pour lui faire finir le repas en lui parlant comme à un bébé. La faire boire n'était vraiment pas pratique, je renversais un parti de son verre sur ces genoux.

  • Je crois que bébé va avoir besoin de nouvelles fournitures.

Elle tenta de s'y opposer, mais je lui mis sa tétine avant. Je l'installai dans le canapé pour lui donner une petite compote. Une fois fini, je lui demandais si elle avait aimé jouer les bébés et si elle voulait retourner au magasin. Elle se blottit dans mes bras sans répondre. Touchant son entrejambe trempé par le verre d'eau, je surenchéris :

  • Oh, mais mon bébé est toute trempée. Peut-être lui faudrait-il des couches ?

  • Oh non, pas ça !

  • C'est toi-même qui as dit que t'étais un bébé et les bébés, ça porte des couches.

  • Non, s'il te plait. Je veux bien retourner au magasin, mais pas de couches...

  • Je ne sais pas, vu comment tu te comportes je crois que tu en as envie moi ! On verra ça sur place.

Nous sommes partis en voiture. Je lui ai alors ouvert la porte de derrière en disant que c'était là que s'asseyait les bébés. Je bouclai sa ceinture et lui donna sa tétine :

  • Nan, pas en public ! T'avais promis.

  • C'est ça ou je t'achète des couches dès aujourd'hui.

Elle remit sa tétine dans sa bouche. Pendant tout le trajet, les gens la regardaient amusés.

À la sortie de la voiture, je lui enlevais sa tétine en disant que puisqu'elle avait été sage elle pouvait la laisser dans la voiture. Elle me fit un câlin et me remercia. Une fois dans le magasin, la vendeuse nous reconnut tout de suite et dit avec un sourire :

  • Il vous faut d'autres choses ?

  • Oui, trois bavoirs et deux biberons s'il vous plait.

  • Ha, mais je vois que votre bébé a pris goût à ce pari ! Vous ne voulez pas d'autres choses avec ceci ?

  • Comme quoi par exemple ?

S'adressant à Sophie :

  • Hé bien, je ne sais pas à quel point tu aimes jouer les bébés, mais tu pourrais avoir des couches bien sûr et peut-être aussi un pot, une chaise haute, des bodies...

Cette fois c'en était trop et elle fondit en larmes. Je la pris dans mes bras pour la réconforter en la berçant. La vendeuse la tapota en disant que ça n'était pas grave, qu'elle devait être très mignonne en bébé. Elle S a n g lota de plus belle, je sortis alors sa tétine de ma poche et lui donna. Stupéfaite, elle s'arrêta net de pleurer :

  • Et voilà, la tétine ça marche avec tous les bébés.

Elle était rouge, mais ne pleurait plus. Elle choisit quelques biberons et bavoirs. Nous avons payés, je l'ai réinstallé à l'arrière de la voiture et lui remettant sa tétine, lui dit de m'attendre sagement que j'avais oublié mon reçu de carte bleue. De retour dans le magasin, je passais une commande pour tout ce dont un vrai bébé a besoin, talc, crème, couches avec des motifs très e n f a n t ins, chaise haute, un parc, plusieurs bodies, une veilleuse, ainsi que plusieurs jeux d'éveil. Je pris également un hochet que je payais tout de suite et le donna à Sophie qui à mon étonnement s'amusa avec pendant tout le trajet.

Une fois rentrés, elle me sauta dessus et nous avons fait l'amour et des câlins jusqu'au soir. Je lui demandais ensuite :

  • Ca t'as tenté ce que t'as proposé la vendeuse, je me trompe ?

  • Nan, c'est pas vrai !

  • Tu es sûre ? Moi je crois que tu n'oses simplement pas l'avouer.

Voyant qu'elle ne répondait pas, je continuais :

  • Tu as envie que je te traite comme un vrai bébé de temps en temps ? «

Prenant son pouce dans sa bouche :

  • Peut-être...

  • Bien, alors c'est ce que je ferais. Tu veux que je te fasse prendre un bain comme un vrai petit bébé ?

  • Voui... Merci d'être si compréhensif...

La portant dans mes bras pour la mettre dans le bain :

  • Je vais bien m'occuper de toi, d'abord le bain et après on essayera ton nouveau biberon.

Je fis couler le bain et la déshabillais, elle se laissait totalement aller. Je l'ai mise dans le bain avec sa tétine et commença à la nettoyer. J'insistais sur ces fesses, elle rougit.

  • Et voilà un bébé tout propre ! Normalement je devrais te langer... Ce sera pour une prochaine fois...

Elle rougissait encore plus, mais cette fois n'émit aucune protestation. Je la séchais avec une serviette et la reportai jusqu'au lit. Je lui ai ensuite enfilé son pyjama "Hello Kitty". Elle était craquante.

  • Tu veux que je te donne à manger comme ce midi ?

  • Oui, s'il te plait...

  • Dans ce cas, je veux que tu me le demandes clairement.

  • Tu peux me donner mon biberon comme à un bébé s'il te plait ?

Je souris :

  • Bien sûr bébé, mais pour le reste de la soirée je veux que tu te comportes comme un vrai bébé. Pas de phrases, des mots très simples ou même de petits areus. Tu ne fais rien toute seule, si tu veux te déplacer c'est à quatre pattes ou dans mes bras. Si tu veux allez aux toilettes, tu me demandes la permission et je t'y accompagnerais moi-même. Après le repas nous regarderons un dessin animé. Ah, une dernière chose, tu dois m'appeler papa. Tu acceptes toutes ces conditions ?

Baissant les yeux elle répondit un tout petit "voui".

Je lui attachais sa tétine et la mettant par terre :

  • Pour être sur que tu as bien compris les règles, tu vas me suivre à quatre pattes jusqu'à la cuisine.

Elle commença à avancer maladroitement.

  • C'est bien bébé, continue !

Une fois arrivés à la cuisine, je l'installai sur une chaise. Je lui donnai ensuite son hochet pour qu'elle puisse s'amuser en attendant que je prépare le diner. Je fis une purée avec des petits morceaux de jambon. Je m'amusais de la voir ainsi jouer avec un hochet et elle se mit à rougir en voyant que je la regardais. Je lui accrochai son bavoir autour du cou :

  • Voilà, comme ça mon bébé ne salira pas son beau pyjama.

Comme la première fois, je lui donnai sa purée. Cette fois-ci, elle faisait exprès de s'en mettre partout.

  • Ca suffit, bébé. Soit sage, sinon je te donne la fessée !

Avec un grand sourire, elle laissa échapper toute la bouchée que je venais de lui donner avec un petit "areuh".

  • Très bien, tu l'auras cherché !

Je l'essuyais avec le bavoir, je la portai jusqu'au canapé et l'étendis sur mes genoux.

  • Oh non, s'il te plait ! Promis j'arrête, je suis désolée, je recommencerais pas !

  • Trop tard, ça fera cinq fessées pour avoir joué les vilains bébés et cinq autres pour avoir désobéi en faisant une grande phrase.

Je commençais à lui donner la fessée et elle poussait de petits cris plaintifs à chacune d'elles. Je baissais ensuite son bas de pyjama pour finir de lui donner la fessée. Une fois terminé, je la rassis sur mes genoux. Elle avait les larmes aux yeux.

  • Là, c'est tout, c'est fini. Il faut que tu apprennes à obéir, jouer les bébés ça n'a pas que des avantages. C'est compris ?

  • Voui papa.

  • Bien, maintenant je vais te donner ton biberon devant un Disney. Lequel tu veux regarder ?

  • Toutous !

  • Les 101 dalmatiens ?

  • Voui.

Je lui préparai un biberon de chocolat, lançai le film et l'allongeai contre moi. En lui soutenant la tête, je commençais à lui donner son biberon. Elle avait l'air d'être aux anges, elle fermait les yeux et tétait lentement son biberon comme pour en apprécier chaque gorgée. Une fois fini, je lui essuyai la bouche avec le bavoir et l'embrassa sur le front.

  • Il faut faire ton rot maintenant, bébé.

Elle rougit, je l'ai pris dans mes bras et lui tapotai en la soulevant le dos jusqu'à ce qu'elle fasse un petit rot. On continua ensuite à regarder le film.

Au bout de quelques minutes, je lui enlevai sa tétine. Elle me regarda l'air intrigué.

  • Que tu joues les bébés c'est une chose, je te fais plaisir en te traitant comme tel. Mais maintenant il est temps que ce soit bébé qui fasse plaisir à son papa.

Je commençais à défaire ma ceinture et découvris mon sexe :

  • Allez, viens mon bébé. Tête le biberon de papa.

Elle ne se fit pas prier, elle attrapa mon sexe d'une main et englouti mon sexe. Elle commença de longs va et viens avec sa bouche.

  • C'est bien bébé, continue.

Je lui pris la main qu'elle avait mise sur mon sexe en la faisant aller de bas en haut :

  • Tu vois, c'est comme avec ton hochet.

Elle accéléra le rythme et au bout de quelques minutes de pur bonheur, j'atteignis l'orgasme en libérant trois jets de semence dans sa bouche.

  • Avale le bon lait de papa...

Elle en laissa tout de même sortir de sa bouche et je lui essuyais une fois de plus avec le bavoir.

  • C'est bien, papa est fier de son bébé.

Avant que je lui redonne sa tétine, elle émit un "areuh" de plaisir.

Pendant le film, je lui donnais encore deux biberons. L'effet se fit rapidement sentir et elle commença à se trémousser. Au bout de quelques instants, elle dit :

  • Pipi, pipi !

  • Non, tu attends. Tu as voulu jouer les grandes en refusant de prendre des couches, ça veut dire que tu sais te retenir. Attends la fin du film.

Elle se trémoussait de plus en plus. A un moment elle voulu se lever, mais je la reteins et lui donnai une petite claque sur les fesses.

  • J'ai dit non ! A moins que tu reconnaisses que tu aurais bien besoin de couches ?

  • C'est po vrai !

Je mis ma main sur sa vessie et exerçai une légère pression. Elle poussa un petit cri et laissa échapper un petit jet, formant une auréole au niveau de son entrejambes.

  • Je crois que bébé viens de faire pipi culotte !

Elle commença a pleurer comme un bébé. Je l'ai porté jusqu'aux toilettes, baissai son bas de pyjama et l'installai :

  • Allez, fini ton pipi, bébé.

Elle me regardait en S a n g lotant encore un peu. Une fois fini, je lui essuyai le sexe et l'emmenai jusqu'à la chambre.

  • Je vais nettoyer un peu mieux ce petit bébé.

J'avançais ma tête près de son sexe totalement épilé et commençai à le titiller. Je ne m'arrêtai qu'une fois au bord de la jouissance et, revenant à sa hauteur, je l'embrassai. Délicatement je commençai à la pénétrer, d'abord tout doucement, avec tendresse, puis j'accélérais le rythme. Nous avons joui ensemble, parfaitement satisfait l'un et l'autre. Elle m'embrassa :

  • Merci papa.

Je lui souris et lui donnai sa tétine. Nous nous sommes ensuite endormis très rapidement.

Le lendemain matin, je la réveillais avec un biberon. Je lui fis ensuite faire son rot et l'habillais.

  • Allez file, tu dois reprendre ta vie de grande et allez en cours !

  • Julien...

  • Qu'y a-t-il mon ange ?

  • Ze t'aimes !

  • Moi aussi bébé, dis-je en lui donnant une petite tape sur les fesses, dépêches-toi, tu vas être en retard.

Elle parti en sautillant, je ne l'avais jamais vue si contente.

Chapitre 4 : Redevenue un vrai bébé

Les jours passaient et je la traitais de plus en plus souvent en bébé. Elle le réclamait aussi de plus en plus souvent. Je décidai d'aller encore un peu plus loin à l'occasion des vacances. Les partiels finis, c'était le moment rêvé pour se détendre et se laisser aller.

Un soir, elle était très fatiguée et je lui fis boire quatre biberons. Elle protestait, mais je lui dis que les bébés n'avaient pas à décider ce qui était bon pour eux. Je la mis au lit très tôt et elle s'endormit comme une masse en tétant sa tétine. Je plaçais alors son doigt dans un verre d'eau, le résultat fut sans appel. Un gros pipi au lit, cela ne la réveilla même pas. La pauvre puce était vraiment fatiguée après tous ces examens.

Le lendemain matin, je la réveillais doucement. Elle se rendit immédiatement compte de son accident. Prenant un air faussement en colère, je fis mine de la gronder :

  • Tu exagères, tu es un vrai bébé ! Si tu veux encore régresser, il va falloir prendre des mesures. Je ne veux pas me réveiller dans un lit mouillé tous les matins !

Elle répondit en S a n g lotant :

  • Je suis désolée, je ne sais pas ce qui s'est passé...

  • Moi je sais, tu joues les bébés tout le temps. C'est normal que tu fasses pipi au lit ! Mais je t'avais pourtant proposé de te mettre des couches et tu avais refusé. Mais là je ne te pose plus la question. Si tu veux continuer à jouer les bébés, il va falloir le faire jusqu'au bout. C'est soit ça, soit rien du tout !

Elle n'avait jamais été aussi rouge. Après quelques secondes de silence, elle dit de la voix à peine audible :

  • C'est d'accord, mais tu veux bien rester avec moi même si je porte des couches et que j'agis comme un vrai bébé ?

La serrant dans mes bras, je répondis :

  • Bien sûr mon cœur. Je me doutais depuis longtemps que tu finirais par vouloir être traitée comme ça et ça ne m'empêche pas du tout de t'aimer. Jusqu'à présent on a très bien réussi à faire coexister tes envies de bébés et nos désirs de grands, il n'y a pas de raison que ça change. J'irais dès demain chercher le nécessaire pour m'occuper de toi, ne t'en fais pas. Et si je t'ai un peu grondé tout à l'heure, c'est uniquement pour t'inciter à me demander de réaliser tes véritables envies.

En me serrant encore plus fort, elle me dit :

  • Je t'aime tellement !

Je lui souris et l'embrassai longuement avant d'ajouter :

  • Allez, viens-là bébé, on va aller prendre le bain car tu es toute trempée.

Le lendemain j'allai au magasin récupérer la commande que j'avais faite un mois plutôt, tout était parfait. Sur les bodies était inscrit "Bébé Fofie", la chaise haute faite sur mesure était très mignonne avec des S a n g les pour maintenir bébé, car plus d'une fois elle avait réussi à se sauver quand elle n'aimait pas ce que je lui donnais à manger, ce qui lui valu d'ailleurs plusieurs fessées. La vendeuse avait pris la liberté de me commander quelques culottes plastiques imprimées de motifs e n f a n t ins "au cas où votre bébé mouille beaucoup ses couches". Je la remerciai de tout le travail qu'elle avait accompli et parti préparer l'appartement.

Je devais allez chercher Sophie chez elle vers 18h00. J'installai le parc et y déposai les jeux d'éveil encore emballés dans leurs paquets cadeaux. Je rangeai les couches, les couches droites, les culottes en plastiques et les bodies dans un placard. J'installai un matelas à langer à côté du lit, j'enlevai sa chaise pour la remplacer par la nouvelle. Enfin je descendis en vitesse acheter multiples petits-pots, compotes et lait en poudre. Tout était prêt pour accueillir bébé Fofie.

Je suis ensuite allez la chercher. En marchant dans la rue, elle semblait un peut stressée, ne sachant pas si j'avais réellement exécuté mes propos de la veille. Je donnais d'emballé le ton en lui murmurant à l'oreille :

  • Ce soir, tu vas pouvoir être un véritable petit bébé.

Elle rougit et elle me demanda d'une voix peut rassurée :

  • Qu'est-ce que t'as acheté ? Tu m'as vraiment pris des... des... ?

Je répondis à voix haute :

  • Des couches ?! Peut-être, c'est la surprise. Donne ta main pour traverser, tu seras bientôt fixée.

À peine entrer dans l'appartement, elle resta bouche-bée en découvrant tous les accessoires qu'il y avait dans la pièce. Elle reprit ses esprits :

  • Mais t'es dingue ! Je pensais que tu m'avais tout au plus acheté des couches pour me rendre un peu plus bébé, mais là c'est trop ! J'ai vingt ans, je ne vais pas jouer dans un parc pour bébé ou manger dans une chaise haute !

Elle bredouillait, les larmes aux yeux.

  • Il n'y a pas que ça, tu as encore beaucoup de surprises. Pendant les deux prochaines semaines de vacances, tu vas être traitée en vrai bébé dès que tu seras à la maison. Dehors nous verrons, tout dépendra de si tu as été sage.

  • Mais je ne veux pas tout ça !

  • Bien sûr que tu le veux. Tu te conduis sans cesse en bébé, tu vois au biberon, je te donne à manger, je te fais prendre ton bain, tu dors tous les soirs en tétant une tétine. Et hier tu es allée jusqu'à faire pipi au lit ! Tu es un bébé, tu l'as toi-même dit à plusieurs reprises !

  • Oui, mais... les larmes commençaient à couler sur son visage.

  • Il n'y a pas de "mais", ce n'est pas une punition. C'est ce que tu as toujours voulu au fond, si tout ça ne plaisait pas tu aurais cessé de jouer les bébés depuis bien longtemps. Je comprends que toutes ces choses là te surprennent, mais ne t'en fait pas, laisses-toi allez... Je suis sûr que tu en as envie. Si tu désires arrêter après les vacances, c'est ce que nous ferons. Mais pour le moment, tu vas te détendre, relâcher tout ton stress... Alors on est d'accord ? Allez, sèche tes larmes, tu es censée être heureuse du pouvoir aller au bout de ton fantasme.

  • C'est peut être vrai... Je veux bien jouer pendant les vacances.

  • Je veux que tu me le dises autrement.

Se blottissant contre moi, elle dit :

  • J'ai envie de me comporter comme un vrai bébé et que tu t'occupes de moi comme tel.

  • C'est bien, bébé. Maintenant je vais te mettre tes nouveaux vêtements et tu vas pouvoir découvrir petit à petit ce que c'est d'être un vrai bébé.

Je la portai jusqu'à la chambre et l'étendis sur le matelas à langer. Son visage avait changé, elle regardait partout avec les yeux pétillants, elle était heureuse. Je lui donnai sa tétine qu'elle se mit à sucer avidement. Je la déshabillai entièrement, sorti ensuite lingettes, talc, une couche et deux couches droites. Voyant tout cela, elle voulut se relever, mais je lui dis en la maintenant d'une main ferme sur le matelas :

  • Doucement bébé, soit sage pendant que papa te met la couche.

Elle se décontracta et me fit un sourire gêné. Je lui nettoyai les fesses puis son entrejambe :

  • Allez, lèves tes fesses bébé. Papa doit te mettre du talc pour éviter les irritations.

Elle était rouge, quelle honte de se retrouvé ainsi à son âge sur un matelas à langer, une tétine dans la bouche, les jambes en l'air pour que son copain qu'elle devait maintenant appeler papa lui étale du talc avant de lui mettre sa couche... Elle rougit de plus belle. Une fois saupoudrée de talc, je glissai l'épaisse couche sous ses fesses et y ajoutai les deux couches droites. Je rabattis le devant de la couche et fixai les adhésifs. Je la fis s'assoir :

  • Regarde les jolis dessins qu'il y a sur ta couche, ils te plaisent ?

Elle acquiesça de la tête :

  • Je n'ai pas entendu ?

  • Voui papa.

  • Avec ça tu es bien protégée, je n'aurais peut-être même pas à te changer avant de te coucher.

Elle me regardait les yeux écarquillés.

  • Ha oui, j'oubliais, il y a de nouvelles règles. A la maison tu seras langée en permanence, tu ne demandes pas à aller aux toilettes et tu fais tout dans ta couche. Je vérifierai régulièrement son état. Tu ne touches pas à tes couches, seul moi, pour l'instant, peux te changer. Tu es nourrie exclusivement aux produits pour bébé, petits pots, blédine, biberons, etc. Tu joues dans ton parc pendant que je suis occupé, tu n'as pas le droit d'en sortir seule. Tu fais la sieste après le repas. Les autres règles s'appliquent toujours. Si tu désobéis, tu auras le droit à une fessée. Si tu désobéis encore, je t'oblige à sortir habillé en bébé. C'est clair ?

Retirant sa tétine et essayant de se lever elle protesta :

  • Je ne vais pas faire dans mes couches quand même ! Et puis qu'est-ce que ça veut dire tu es le seul à pouvoir me changer POUR LE MOMENT ?!

Je lui mis une claque ferme sur ces couches, l'obligeai à s'assoir et lui remis sa tétine dans la bouche :

  • Tu ne parles pas comme ça à ton papa ! Tu veux mettre des couches ? Non, tu as besoin de mettre des couches puisque tu fais pipi au lit, alors tu feras dans tes couches. Pour ce qui est du change, tu verras en temps voulu. Maintenant je ne veux plus que des mots simples, il est grand temps que tu assumes de jouer ton rôle de bébé jusqu'au bout !

Elle semblait un peu embêtée, mais me fit tout de même un petit "areuh".

  • Bien, maintenant je vais te mettre ton nouveau body.

Une fois de plus, elle écarquilla les yeux, bien plus encore en voyant "Bébé Fofie" brodé sut le devant. Je lui enfilai puis l'allongeai afin de fermer les pressions à ses jambes. Je clipsai sa tétine au col et ajoutai en lui tapotant le derrière :

  • Voilà un beau bébé prêt à passer sa première soirée dans ses belles petites couches.

Elle me sourit, elle était rentrée dans son rôle de bébé, décidée à se laisser aller.

Bébé Fofie allait enfin passer les vacances qu'elle désirait depuis si longtemps, mais de nombreux évènements imprévus allaient vite lui prouver qu'être un bébé n'a pas que des avantages.

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Merci pour ce récit ! Je serais très curieux de lire la suite des mésaventures de bébé Fofie.. ;)
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